jeudi 27 octobre 2011

El-Abiadh Sidi Cheikh sahara d'Algerie histoire: Descendants de Sidi Cheikh Abd el-Kader ben Mohammed

El-Abiadh Sidi Cheikh sahara d'Algerie histoire: Descendants de Sidi Cheikh Abd el-Kader ben Mohammed

Descendants de Sidi Cheikh Abd el-Kader ben Mohammed

Bonjour, mes sincéres salutations, j'espére vous éclairer une page glorieuse de quelque éminents personnalité parmi les descendants du savant et grand homme de spiritualité le Cheikh Sidi Abd el-Kader ben Mohammed, dit Sidi Cheikh(ob.1025H/ 1606) entére au sud ouest de l'Algérie 
El-Chahid: Zaoui Mohammed Dhiab 26/10/1958



  Zaoui Mohammed, dit Dhiab, (ob. 26/10/1958 à Béchar, Dz), le Martyre- El-Chahid- Mohammed ben Hammou ben Slimane El-Zaoui, Zaydouri descendant de l’éminent savant Sidi El-Cheikh Abdel- Kader ben Mohammed el-bakri el- saddiqy.

  Mohammed dit Dhiab, né , vers 1928, aux environs d’ Abadla dans la saoura, fils de Hammou, et Fatna (Fatima) bent Abdel-Kader b. Djelloul ; d’une famille semi bédouine ; après la mort de son père de qlques années, en 1948 il quitte la maison vers Kinadsa- capitale minière et économique de la région- pour nourrir  sa famille. Puis il s’engage dans l’armée française, en 1949, qui l’envoya  vers l’Indochine  jusqu’a 1953, où il sera rayer définitivement de l’armée française, après six mois de prison, à cause de sa participation à la collecte de l’argent pour le soutient de la révolution en Tunisie.
 Après les dizaines de mouvements de libération durant le (19° éme) siècle, depuis Ahmed Bey (1830) ; Cheikh Mohieddine(1831) et son fils l’ irréprochable ‘Emir Abd el-Kader el-Djazaiyri (1831 ; 23/12/1847) ;  les Cheikhs dit Boubaghla et Boum’aza ; l’ ardente Lalla Fatma –Nsoumer ; les Z’atcha ; Nacer ben Chohra ; Mohammed ben Abd el- Allah ; les Oullad Sidi el- Cheikh(1864 ; 20/5/1883) ; Ahmed Bouchoucha (1867) et ses Mdaqna (1869) ; Cheikh el-Moqrani et el- Haddad (1871) ;  et l’ Indomptable guerrier l’éminent spirituel le Cheikh Sidi Bou’amamma ben el- ‘Arbi el-Cheikhi(avril 1881) jusqu’à sa mort (11 ramadan 1326 H/ 7 oct. 1908) la plus longue résurrection; Les autres résurrections ont finit par leurs arrêt suite à un pacte ou la mort du chef ou son arrestation ; et enfin la révolte de l’Aurés vers(1919) .
                                                                                   
                    
                                                                     
 Les Algériens ont changés  leurs politique de libération de leurs terre, en optant vers la participation politique aux élections  et la création de nouveaux partis nationaux juste après la première guerre mondiale, ce qui a donné naissance au parti «  nejme  chamal  ifriqya »  l’ étoile du nord Afrique vers 1925 ,   avec   l’initiative et le soutient de l’ Emir Khaled fils d’ El- Amir Abd el-Kader el-Djazairi (en 1924).  La fin de la seconde guerre mondiale suivi d’une arrogante boucherie de l’ armée Française au compte du peuple Algérien le 8 mai 1945, se scandale a pousse les Algériens vers le choix de l’ Arme, et la guerre militaire, surtout la mauvaise foi du gouvernement français envers les élus nationaux et la falsification des scrutin de1948 , a donnée naissance au premier noyau armée (O.S) constituer des jeunnes du grand parti national de l’époque « PPA » a leurs tête Mohammed Belouazdad; se qui a permis aux masses adhérente au PPA et le MTLD et aux Aulemas et autres a constituer des regroupements pour une guerre militaire surtout au début de 1953, et qui vu des actions militaire en Tunisie puis au Maroc. Après la réunions des (22) fondateur du FLN en l’été 1954 ? la guerre de libération a vue le jour le premier jour du novembre 1954(01/11/54), par (32) opérations   militaire à travers le territoire d’ Algérie. Entre avril 1955 et août 1955 la pluparts des Algériens ont optés définitivement pour la lutte armée contre le colonisateur français.
  A la tête de la région (5) ouest de l’Algérie était Larbi ben Mhidi et parmi ses  collaborateur en trouve Ben- Djoudi el-Cheikh reponsable sur la région sud de l’Oranie, parmi  laquelle  le département militaire de A’in Séfra englobant Mécheria, sud de Saida, Géryville(El-Bayadh), Aflou, colom-Béchar, Timimoun et Adrar ; Le 1’er novembre 1954 une première réunion de la première cellule du FLN a vue le jour à la cité Dabdaba au centre de la ville de Béchar.  Ce qui permis aux jeûnes et au anciens membres du PPA et du MTLD a joindre  les rangs du FLN très tôt, et surtout l’été 1955, parmi  eux en trouve l’ex recherché par l’administration française le jeûne Mohammed ben Hammou dit Dhiab qu’on a confier les opérations du féda’ines. Il utilisa les papiers de son cousin Mohammed ben el-Dine ben Slimane qui habite,  hors de la ville, dans la compagnie . Dhiab organisa les villages de Abadla, Taghit, Béchar, Ighly, et Beni- Abbés, en se donnant au commerce.
  Depuis juin 1956 el-Arbi ben Mhidi quitta l’oranie vers Alger pour réorganiser les opérations dans la capitale, tout en préparant le chemin vers la grande réunions du soumame (aout 1956), Ben-Mhidi laissa l’oranie sous les mains du stratège A. Boussof, puis à la fin 1956 Mohammed Boukharouba dit Houari Boumédienne devint le jeune colonel de la wilaya(5). La zone (8) était sous l’ordre du commandant Okbi Abd el-Ghani(fin 1956, 1958).
   Aissa,  jeune frère de Dhiab, le petit fida’yi à l’âge de (13)ans, suivra le chemin de son frère ainé Dhiab, il utilisa la bicyclette pour transporter les petites piéces d’arme et les messages, avec un autre enfant de son âge Ali Balghite, le frére des moudjahidines Balghite Hamida et Fatima Balghite.  Dhiab recrêta Hommes et femmes et quelque enfants.
   Parmi les femmes il cite, Fatma Djallouli, Aicha Yousfi(la femme de Dhiab), Rabi’a Zaoui(sœur de Dhiab), et sa cousine Khaira Zaoui, et Aicha bent Souilem, Mobarka Chetayat, Mobarka Krayb’a, Kheira Krayb’a(femme de A.Attaouat), El-‘Alliya Beyan, Fatma Balghite ; Messaouda femme de Moulay Bachir, Fatma Zaoui(femme de Hamza Zaoui), Fatna(femme de Ibrahim), Zohra(femme de Tayeb), la mère du héro Mohammed Dhiab Fatna Djallouli, Halima Balghite, Fatima Frizi, et d’autres.  
   Les hommes étaient nombreux, son frére Taj Zaoui, son cousin- Chahid- Ali ben Boualem, son cousin Lakhdar Zaoui, Hamida Balghite, Hamza Zaoui, ses cousins Abd el-Kader ben Toumi, Lakhdar ben Messaoud, Milloud Karoumi, ben Karoum, L’aredj Saria, Omar, el-Taleb Hossine, el-Taleb Mohammed ben el-Mahdi, Youssef Kadri, Mohammed ben Berka Karoumi, Belkhir Chikhani, Mohammed ben Kadour, Khali Ali(chahid), Mohammed Sanba, Bachir M’arouf, Bakou dit Mohammed el-Relizani, el-Taleb Abd el-Allah, Tayeb Bel-Khaladi, Attaouat Ahmed, Ali ben Boubaker, Ben-Cheikh Ahmed, Cheikh Bou’amama(chahid), Arbi Gourari(chahid) ; et parmi les prisonnier (fin1958) : Eba-el-Maki el-Manougui(chahid), Abd el-Rahmane-chahid-(l’infermier du Dr. L’Oranie), le –chahid- chauffeur de la voiture de Tasfaout, Touhami Tayeb(chahid), Ali dit Ali-Baba ; El- Tayeb, Ibrahim ben M’azouz, et les autres qu’ils aillent la félicité d’ Allah.


   Ing. Dine Farhat ben Slimane, la référence livre du Moudjahid «  Aissa ben Hammou Zaoui », Fida de l’ ALN à Béchar et ses environs sous l’ordre du CHAHID : Mohammed Zaoui, dit DHIAB ; ed.2010, Dar el-Gharbe, Algérie.
El-Chahid: Zaoui Mohammed Dhiab 26/10/1958